Abdallah Djaballah a accusé, ce mardi 2 avril, les « forces anti-constitutionnelles » de cibler le mouvement populaire.
Selon le président du Front Al Adala, qui s’exprimait à l’ouverture de la réunion de représentants de l’opposition, « ce sont des parties occultes qui dirigent le pays », appelant à satisfaire les demandes du mouvement populaire qui exige le départ du régime.
« Le peuple a exprimé sa volonté d’exercer pleinement sa souveraineté et le pouvoir doit répondre », a-t-il ajouté. Il a mis en garde contre les dangers que risquent d’engendrer pour le pays l’entêtement du pouvoir qui refuse toujours de répondre aux revendications populaires.