Abdelkader Hadjar, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a réagi ce dimanche aux accusations formulées dans une lettre ouverte par une maître-assistante de la faculté des Sciences politiques et des Relations internationales (Université Alger 3) dans laquelle elle accuse la « sécurité présidentielle » d’avoir participé au blocage de sa thèse de mémoire sur « Le rôle de l’élite au pouvoir dans le processus de transition démocratique en Algérie 1989-2016 ». « C’est une affaire interne », a simplement répondu Hadjar à la presse à l’APN en marge de la clôture de la session de printemps du Parlement.
Affaire de l’étudiante censurée par l’Université d’Alger : Hadjar botte en touche
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