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Dans son livre, Hillary Clinton qualifie Donald Trump de “sale type”

Lorsque Donald Trump s’est placé derrière Hillary Clinton lors d’un débat l’an dernier au cours de la campagne présidentielle, la candidate démocrate a eu la chair de poule.

“Nous étions sur un petite scène, et il me suivait où que j’aille, il me fixait des yeux, il grimaçait. C’était incroyablement gênant”, écrit Hillary Clinton dans son livre à paraître le 12 septembre aux Etats-Unis, “What Happened”, et dont la chaîne MSNBC a publié deux courts extraits mercredi.

“J’en avais la chair de poule”, poursuit-elle, avant de décrire les sentiments qui lui traversèrent alors l’esprit.

“Que feriez-vous à ma place ? Resteriez-vous calme, souriante, comme s’il ne mordait pas constamment sur votre espace ? Ou bien vous retourneriez-vous pour le regarder dans les yeux et lui dire, haut et fort: +Reculez, sale type, éloignez-vous. Je sais que vous adorez intimider les femmes, mais vous ne m’intimiderez pas, alors reculez+”, écrit-elle, en recourant au mot anglais “creep”.

Ce sont les premières bonnes feuilles du livre qu’Hillary Clinton a passé les derniers mois à écrire, selon elle pour raconter de l’intérieur son échec de la campagne présidentielle, et les raisons pour lesquelles elle estime avoir perdu, notamment les ingérences présumées de la Russie.

Elle y reconnaît avoir déçu les espoirs de millions de personnes. “J’ai échoué. Et j’aurai à vivre avec cela toute ma vie”.

Lorsque Donald Trump s’est placé derrière Hillary Clinton lors d’un débat l’an dernier au cours de la campagne présidentielle, la candidate démocrate a eu la chair de poule.

“Nous étions sur un petite scène, et il me suivait où que j’aille, il me fixait des yeux, il grimaçait. C’était incroyablement gênant”, écrit Hillary Clinton dans son livre à paraître le 12 septembre aux Etats-Unis, “What Happened”, et dont la chaîne MSNBC a publié deux courts extraits mercredi.

“J’en avais la chair de poule”, poursuit-elle, avant de décrire les sentiments qui lui traversèrent alors l’esprit.

“Que feriez-vous à ma place ? Resteriez-vous calme, souriante, comme s’il ne mordait pas constamment sur votre espace ? Ou bien vous retourneriez-vous pour le regarder dans les yeux et lui dire, haut et fort: +Reculez, sale type, éloignez-vous. Je sais que vous adorez intimider les femmes, mais vous ne m’intimiderez pas, alors reculez+”, écrit-elle, en recourant au mot anglais “creep”.

Ce sont les premières bonnes feuilles du livre qu’Hillary Clinton a passé les derniers mois à écrire, selon elle pour raconter de l’intérieur son échec de la campagne présidentielle, et les raisons pour lesquelles elle estime avoir perdu, notamment les ingérences présumées de la Russie.

Elle y reconnaît avoir déçu les espoirs de millions de personnes. “J’ai échoué. Et j’aurai à vivre avec cela toute ma vie”.

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