Politique

28e vendredi : les principaux événements

22h55 : fin de ce direct.

>> Lire sur TSA : Rahabi dénonce un « harcèlement » contre les partis de l’Alternative démocratique

>> Lire sur TSA : Drapeau amazigh : une militante de #RAJ va comparaître lundi devant le procureur

20h44. RAJ annonce la libération de sa militante arrêtée ce vendredi lors des manifestations à Alger.

19h20. Le RAJ réclame la libération de Malek Sabrina militante et animatrice de sa radio, arrêtée ce vendredi lors des manifestations.

18h00. Les Algériens ont manifesté pacifiquement ce vendredi pour la 28e fois depuis le 22 février, pour réclamer le changement, le départ des figures du système Bouteflika et dire non à des présidentielles organisées par des figures de la issaba. Les manifestations ont drainé un nombre important de manifestants à Alger, Constantine, Oran, Tlemcen, Annaba, Chlef, Bordj Bou Arreridj, Tizi Ouzou, Bejaia, Bouira, Mascara, Ain Temouchent, Mostaganem, Jijel, M’sila, Ain Defla, Mila, Saida, Relizane, Guelma, Relizane et d’autres villes du pays. La mobilisation est plus forte que les précédents vendredis. Le hirak amorce son retour en force en ce dernier vendredi avant la rentrée sociale.

17h33. Fin de la manifestation du 28e vendredi à Alger. Les manifestants se sont dispersés dans le calme. Le hirak amorce un retour en force après un été particulièrement chaud où la mobilisation a baissé par rapport aux premiers mois du mouvement populaire.

17h24. Mostaganem : les manifestants ont insisté sur le départ des symboles de l’ancien régime et réclamé l’instauration d’un état civil de droit, lors de la 28e marche de ce vendredi. Les marcheurs ont exprimé leur refus de la tenue des élections en présence de la “bande” tout en revendiquant le changement radical dans le pays. (Source www.mostaganem-aujourdhui.com)

17h20. Alger, les manifestants commencent à se disperser dans le calme.

[TSA]


17h20. Alger, les manifestants commencent à se disperser dans le calme.

17h00. Des manifestations populaires pacifiques se sont déroulées ce vendredi à travers plusieurs wilayas du pays : Alger, Oran, Constantine, Tlemcen, Annaba, Jijel, M’sila, Bejaia, Tizi Ouzou, Bouira, Mostaganem, Mascara, Ain Temouchent, Chlef, Ain Defla, etc. La mobilisation est plus important que les vendredis précédents.

16h38. À Ain Defla, les citoyens sont sortis aussi pour réclamer le changement.

16h36. Annaba : les manifestants ont été au rendez-vous, et ont scandé des slogans hostiles au régime.

16h19. Tlemcen : la mobilisation est loin de s’essouffler. Une imposante manifestation s’est déroulée aujourd’hui pour réclamer un changement démocratique. “Non au dialogue avec la issaba”, “non aux élections de la fraude”, ont longuement scandé les manifestants.

16h15. Mostaganem : “Lihab bladou yakhradj ldjamâa : celui qui aime son pays sort le vendredi” scandent les manifestants, très nombreux. (source : www.mostaganem-aujourdhui.com)

16h12. Chlef : une grande manifestation s’est déroulée ce vendredi pour réclamer le départ du système. “Oui pour l’application des articles 7 et 8 de la Constitution”, lit-on dur une banderole.

16h06. Aïn Témouchent : l’ampleur des manifestations s’est renforcée ce vendredi en faveur d’un changement démocratique en Algérie. Des centaines de personnes ont battu le pavé pour réitérer leur mots d’ordre fustigeant les “manœuvres du pouvoir visant à se maintenir”.

15h55. Mascara : Des centaines de personnes ont manifesté ce vendredi dans la rue. “Non au dialogue que dirige Karim Younes et son panel”, “non aux élections présidentielles organisées par un système fraudeur”, a notamment scandé la foule.

15h53. La mobilisation citoyenne se renforce de plus belle. Après un repli observé durant l’été, la mobilisation s’est renforcée, ce vendredi à Oran, a constaté TSA. Des milliers de personnes ont marché aujourd’hui au centre-ville pour réitérer leurs revendications politiques en faveur d’une transition démocratique en Algérie. « Pour une Algérie libre et démocratique », « Non au dialogue et aux élections sans transition démocratique », « Pour un État civil et démocratique », sont les slogans les plus scandés par une foule nombreuse qui a manifesté pour le 28e vendredi consécutif. La procession humaine s’est ébranlée de la place du premier novembre (ex-place d’armes), en empruntant le boulevard Émir Abdelkader puis l’avenue Larbi Ben M’hidi pour se diriger vers le siège de la wilaya. L’ambiance est festive et les manifestants ont affiché une grande détermination à poursuivre leur combat pacifique. Des banderoles, des pancartes et drapeaux amazigh et palestinien ont été brandis à côté de l’emblème national.

15h50. Mostaganem : des milliers de manifestants ont défilé aujourd’hui dans la rue pour scander des slogans hostiles au dialogue avec “les résidus du système” et “l’organisation d’élections dans les conditions politiques actuelles”.

15h27. Constantine : des manifestants mécontents contre une certaine presse.


15h13. Imposante marche à Bejaia à l’occasion du 28e vendredi. Le hirak revient en force, après un été particulièrement chaud. (Source : Bejaia sois l’observateur)


15h12. Une foule impressionnante au centre ville de Tizi Ouzou.

15h11. Bouira : des milliers de personnes participent à la marche du 28e vendredi.

Photo : TSA


15h07. Constantine : des centaines de personnes manifestent pour réclamer le changement et le départ des symboles du régime de Bouteflika.


15h05. Oran, des milliers de personnes manifestent actuellement dans les rues de la ville, pour réclamer le changement.

14h54. Constantine : des enfants et des femmes participent comme chaque vendredi à la manifestation.

Photo : TSA

Photo : TSA


14h48. El Tarf : les manifestants sont sortis pour réitérer leurs revendications portant sur le changement et le départ des figures de l’ancien système.

Photo : TSA


14h45. Chlef : des manifestants disent non au dialogue avec le régime.


14h27. Constantine : un manifestant dresse le bilan du hirak.

Photo : TSA


14h26. À Alger, et selon plusieurs témoignages, la mobilisation est plus forte que les derniers vendredis.

14h25. Des manifestations populaires pacifiques se déroulent actuellement à Alger, Constantine, Tizi Ouzou, Oran, Bouira, Bejaia et dans d’autres villes du pays, et ce, pour le 28e vendredi consécutif depuis le 22 février.

14h20. Alger : “Libérez les détenus ils n’ont pas vendu de cocaïne”.


14h17. Constantine : les manifestants continuent de se rassembler devant le centre culturel Al Khelifa.

Photo : TSA


14h02. Tizi Ouzou : des manifestants réitèrent leur attachement à un Etat civil.


14h01. Alger : des manifestants réclament la libération de Bouregaa.


13h58. Tizi Ouzou : le message d’un manifestant du 28e vendredi.

Photo : TSA


13h53. Les marches ont commencé à Tizi Ouzou et Bouira.

Photo : TSA


13h45. La police a procédé à plusieurs interpellations de manifestants à Alger-centre.


12h35. Alger, la police empêche les manifestants d’aller à la Grande Poste.

Photo : TSA


 

Photo : TSA


11h53. Alger, la police dresse un imposant barrage pour empêcher les manifestants de passer par Place Audin pour aller à la Grande Poste. (Photo : El Khabar)


11h50. Un hélicoptère tournoie dans le ciel d’Alger.

11h45. Alger, les manifestants réclament la souveraineté au peuple.


11h38. Alger, des manifestants scandent : “Intikhabate à la poubelle”.


11h36. Alger, les manifestants continuent d’affluer au centre-ville.

Photo : TSA


 

Photo : TSA


 

Photo : TSA


Les Algériens vont manifester ce vendredi 30 août, pour la 28e fois depuis le début du mouvement populaire, le 22 février dernier. Les premiers manifestants sont déjà dans les rues d’Alger.

Ce 28e vendredi est le dernier d’un été particulièrement difficile pour les manifestants qui ont assuré la “permanence”. L’enjeu est double : confirmer la reprise du Hirak, entamée mardi avec la marche des étudiants, et réaffirmer les revendications du mouvement populaire portant sur le changement radical du système.

Le 28e vendredi intervient dans un contexte politique marqué par une impasse. D’un côté, le pouvoir insiste sur l’organisation des élections présidentielles dans « les brefs délais », malgré les difficultés rencontrées par le panel de Karim Younes qui peine à insuffler une dynamique au processus dialogue qui semble en panne, faute de l’adhésion des poids lourds de l’opposition à ce projet.

De l’autre côté, l’opposition et la société civile réclament d’abord des mesures d’apaisement dont la libération des détenus du Hirak et le départ du gouvernement Bedoui, comme préalables au dialogue avec le régime. Ces acteurs ont tenu leur première réunion samedi dernier. Ils tentent de s’entendre sur une feuille de route commune.

Les plus lus