22h14. Fin de ce direct.
21h45. Alger, plusieurs manifestants ont été arrêtés et placés en garde à vue, selon le CNLD qui précise que les personnes arrêtées seront présentées dimanche devant le tribunal de Sidi M’hamed.
21h40. Alger, Me Bouchachi s’exprime sur le 48e vendredi et le dialogue.
>> Lire sur TSA : 48e vendredi : attaché au changement, le hirak entretient la flamme
17h45. Alger, l’association RAJ annonce l’interpellation de Hakim Adad et Mokrane Laouchdi.
17h18. Alger, la manifestation se poursuit toujours à rue Didouche.
17h15. À Tiaret et à Mascara, les manifestations ont été empêchées par un dispositif sécuritaire dissuasif. Ces interdictions sont en vigueur depuis le dernier scrutin présidentiel.
16h22. Des manifestations populaires pacifiques se déroulent aussi à Constantine, El Oued, Blida, El Bayadh, Laghouat et Médéa.
16h20. Oran : la mobilisation est intacte. Des milliers de manifestants ont défilé ce vendredi. Les manifestants ont longuement dénoncé les propos haineux qui se propagent notamment sur les réseaux sociaux en appelant à la fin de l’impunité. Les milliers de jeunes ont aussi appelé la cessation des atteintes aux libertés fondamentales.
16h10. Tlemcen : des centaines de manifestants ont battu le pavé ce vendredi pour réitérer la principale revendication politique liée à l’impérative d’instauration d’un système démocratique et un État de droit. Les manifestants ont également réclamé la libération des prisonniers politiques.
16h05. Sidi Bel Abbés : l’interdiction de manifester a été reconduite aujourd’hui comme à chaque vendredi depuis les élections du 12 décembre dernier. Un important dispositif sécuritaire a été mobiliser pour empêcher toute manifestation de rue. Plusieurs personnes qui tentaient de se rassembler ont été interpellées.
15h38. Alger : les manifestants, plus nombreux que vendredi dernier, scandent : “Istiqlal”.
15h31. Alger, la rue Asselah Hocine noire de monde.
15h30. Alger : la rue Asselah Hocine au passage des manifestants en provenance de Bab El Ouesd et la Casbah.
15h30. Alger : un manifestant propose une feuille de route de sortie de crise.
15h20. Oran : “Mouchawarate chibania (le pouvoir ne dialogue qu’avec les personnes âgées)”, lit-on sur une pancarte portée par un jeune manifestant.
15h10. Tizi Ouzou : un drapeau national immense déployé par les manifestants.
15h06. Bouira : les manifestants toujours mobilisés.
15h05. Alger : les manifestants rendent hommage au chahid Didouche Mourad.
14h55. Des manifestations populaires pacifiques se déroulent aussi à M’sila, Jijel et Mostaganem.
14h49. Alger : les manifestants réitèrent leur revendication pour un Etat civil et non militaire.
14h49. Oran : début de manifestations au centre-ville ce vendredi pour maintenir la pression sur le pouvoir pour une transition démocratique et un État de droit. “Libérez les détenus d’opinion”, scandent les manifestants.
14h47. Annaba : la marche du 48e vendredi vient de commencer.
14h46. Alger : la rue Hassiba est noire de monde.
14h45. Tizi Ouzou : les manifestants déploient un immense drapeau national.
14h30. Alger : le journaliste Zoheir Abderkane a été interpellé par les services de sécurité alors qu’il couvrait le début de la manifestation.
14h26. Bejaia : imposante marche pour réclamer le changement et la libération des détenus d’opinion.
14h25. Tizi Ouzou : des manifestants rappellent que Abane Ramdane est un symbole de l’unité nationale.
14h20. A Tizi Ouzou, la marche a commencé. A Alger, la rue Didouche est noire de monde.
13h44. Alger, rue Victor Hugo : les manifestants entament la marche après la fin de la prière.
13h35. Les manifestations ont commencé à Alger et Bouira. Les manifestants scandent les slogans habituels du hirak.
Les Algériens s’apprêtent à manifester ce vendredi pour la 48e fois consécutive depuis le 22 février 2019. Le mouvement populaire, qui a chassé Bouteflika du pouvoir après 20 ans de règne, bouclera dans une semaine son 11e mois.
Cette nouvelle journée de manifestations intervient alors que le pouvoir qui a lancé son premier grand chantier politique qui est la révision de la Constitution, poursuit le dialogue avec des personnalités politiques de l’opposition.
Le président Tebboune a reçu Abdelaziz Rahabi, s’est déplacé au domicile de Ahmed Taleb Ibrahim, avant de recevoir Soufiane Djilali, Karim Younes et Youcef El Khatib.
Le chef de l’Etat recevra mardi prochain des directeurs de médias publics et privés, et devrait continuer à recevoir des personnalités politiques dans le cadre des consultations sur la situation générale du pays et la révision de la loi fondamentale.
A part la révision de la Constitution, pour le moment, le pouvoir n’a pas encore dévoilé son agenda politique, ni sa stratégie pour dialoguer avec le hirak, ce qui laisse les observateurs politiques perplexes.
Dans ce contexte, les manifestants devront renouveler ce vendredi, leurs principales revendications, liées au changement radical du système, la libération des détenus d’opinion et la libération des champs médiatique et politique.