22h00. Fin de ce direct.
21h20. Alger : ce qu’a dit la moudjahida Louisa Ighilahriz sur le 52e vendredi
>> Lire sur TSA : 52e vendredi : les manifestants réaffirment leur détermination à poursuivre le hirak
17h30. Des manifestations populaires se sont déroulées ce vendredi, pour la 52e fois depuis le 22 février 2019, dans plusieurs villes du pays : Alger, Oran, Tlemcen, Mostahganem, Mascara, Ain Temouchent, Ain Defla, Sidi Bel Abbès, Bouira, Tizi Ouzou, Bejaia, Sétif, Blida, M’sila, El Bayadh, Annaba, Médéa, Saida, Bordj Bou Arreridj, Batna et Laghouat, Skikda et Jijel …
Les manifestants ont réitéré leurs revendications relatives au changement, à la libération des détenus et à une justice indépendante. Ils ont exprimé leur soutien au procureur adjoint de Sidi M’hamed, et brandi les portraits des détenus d’opinion
17h27. Alger, la police tente de disperser les manifestants
17h25. Alger, rue Didouche, la manifestation se poursuit
17h20. Alger, les manifestants scandent : « djaibin el houria »
17h00. Oran : le militant des droits de l’Homme et universitaire, Messaoud Babadji, a été relâché après qu’il ait été arrêté pour port du drapeau amazigh.
16h55. Alger : les manifestants scandent : « Klitou leblad ya serakine ».
16h26. Alger : la rue Asselah Hocine pleine de manifestants.
16h26. Alger : le portrait de Karim Tabbou brandi par les manifestants.
16h25. Alger : un manifestant réclame une justice libre et indépendante.
16h25. Oran : un militant de défense des droits de l’Homme, Messaoud Babadji, a été arrêté ce vendredi à Oran alors qu’il marchait en arborant le drapeau amazigh.
15h45. Mostaganem : importante mobilisation ce vendredi. Les manifestants réclament un Etat civil de droit et une justice libre et indépendante. (Source www.mostaganem-aujourdhui.com)
15h40. Des manifestations populaires pacifiques se déroulent aussi à Blida et Médéa.
15h34. Une manifestante déclare son amour pour la révolution.
15h31. Mascara : c’est la première fois depuis les élections du 12 décembre dernier que la manifestation n’a pas été réprimée.
Plusieurs militants sont venus prêter main forte aux Mascariens pour renforcer la manifestation. C’est le cas par exemple de Fethi Gherras
et de plusieurs militants du MDS qui se sont déplacés à Mascara pour y manifester.
15h30. Oran : « Non au gaz de schiste », lit-on sur une pancarte brandie par un manifestant.
15h29. Tizi Ouzou : le père de Karim Tabbou parmi les manifestants.
15h25. Alger : Me Bouchachi s’exprime sur la détention du journaliste Soufiane Merakchi.
15h20. Tizi Ouzou : les manifestants rendent hommage au procureur adjoint de Sidi M’hamed.
15h19. Oran : la rue Larbi Ben M’hidi est noire de monde. « Pour une Algérie libre, démocratique et sociale » lit-on sur une large banderole brandie par des militants.
15h18. Ain Defla : des manifestants défilent dans la rue à l’occasion du 52e vendredi.
15h16. Alger : la rue Didouche pleine de manifestants.
15h15. Oran : il y a une forte mobilisation ce vendredi. L’ambiance est festive. Les Oranais manifestent en famille.
14h56. Mostaganem : début de la manifestation du 52e vendredi.
14h50. Tlemcen : les manifestants marchent en ville revigorés par la libération de plusieurs détenus d’opinion dont notamment Oggadi Nour El Houda, devenue très célèbre au même titre que Samira Messoussi de Tizi Ouzou. Cette dernière était d’ailleurs hier lors de la sortie de Nour El Houda.
14h45. Des manifestations populaires se déroulent aussi à Biskra, Tlemcen et Mostaganem.
14h42. Alger : le portrait de Bouregâa brandi par un manifestant.
14h40. Alger : les manifestants expriment leur soutien au procureur adjoint de Sidi M’hamed.
14h30. Oran : il y a une bonne mobilisation. Des milliers de manifestants défilent dans la rue. « Dawla madania (Pour un Etat civil) », réclament les manifestants.
14h35. Alger : tension à Place Audin. La police utilise des gaz lacrymogènes pour disperser les manifestants et saisissent des drapeaux berbères.
14h24. Tizi Ouzou : les manifestants arrêtent un baltaguia et le remettent à la police.
14h19. Oran : des centaines de manifestants sont regroupés sur la place du premier novembre (ex-place d’armes), pour le début de manifestation.
14h17. Aïn Témouchent : des renforts de citoyens sont arrivés d’Oran et de plusieurs villes en guise de solidarité et pour renforcer la
manifestation qui se déroule en ce moment au centre-ville.
14h16. Alger : la rue Didouch Mourad est noire de monde.
14h14. Tizi Ouzou : des dizaines de milliers de manifestants défilent dans le centre-ville.
14h09. Alger : début de la marche en provenance de Bab El Oued et la Casbah.
انطلاق مسيرة باب بالوادي بالعاصمة نحو البريد المركزي
الصورة: اسلام.ب « الخبر » pic.twitter.com/gZHvTvoWd4— الخبر (@elkhabarlive) February 14, 2020
14h07. Sidi Bel Abbès : début de manifestation. Des dizaines de personnes manifestent en ce moment brandissant le portrait du détenu politique Karim Tabou pour réclamer sa libération. « Samaou samaou ya nas Abane khala oussaya : dawla madania machi aaskaria (Ecoutez Ecoutez, Abane a laissé une recommandation : pour un Etat civil et non pas militaire) », scande la foule qui se dirige vers la place Carnot du centre-ville. Depuis le 12 décembre dernier plusieurs, manifestations ont été réprimées.
14h06. Bejaia : imposante marche populaire à une semaine du 1er anniversaire du hirak
14h05. Aïn Témouchent : après plusieurs vendredis marqués par des interdictions de manifester, plusieurs dizaines de personnes manifestent en ce moment : « Samaaou saamou ya nas Aban khela oussaya dawla madania machi aaskaria (Ecoutez Ecoutez, Abane a laissé une recommandation : pour un Etat civil et non pas militaire) », « Hna oulad Amirouche (Nous sommes les fils de Amirouche) », scandent les manifestants.
14h04. Alger : la manifestation du 52e vendredi a commencé. Des manifestants portent des pancartes en hommage au procureur adjoint de Sidi M’hamed. Ils réitèrent leur revendication relative à un « Etat civil et non militaire ».
Les Algériens manifestent actuellement à Alger et dans d’autres villes du pays, pour la cinquante-deuxième fois depuis le 22 février 2019.
A moins une semaine de la célébration de la première année du mouvement populaire, les manifestants devraient être encore plus nombreux que lors des deux dernières semaines où l’on a enregistré un retour progressif du hirak.
Lors des marches des 50e et 51e vendredis, il y avait en effet nettement plus de monde dans la rue par rapport aux week-ends précédents.
Lors de ce 52e vendredi, les manifestants devraient réitérer leurs revendications et leur détermination à aller jusqu’au bout dans leur mouvement, et réclamé une nouvelle fois la libération des détenus d’opinion, la levée des restrictions qui frappent les médias et une justice indépendante.