23h00. Fin de ce direct.
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16h10. Abdelkader Bensalah a reçu, ce lundi, le Premier ministre, Noureddine Bedoui avec lequel il a procédé à « l’évaluation de la situation politique, à la lumière de l’annonce faite par le Conseil constitutionnel concernant l’opération électorale », annonce un communiqué de la présidence de la République.
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14H24. Le blogueur Abdellah Benaoum a été libéré ce lundi (Lire).
14H20. Le PT réagit à l’annulation de la présidentielle du 4 juillet. « Le conseil constitutionnel, qui s’aligne sur l’orientation du pouvoir en place, outrepasse ses prérogatives et se heurte à la volonté de la majorité du peuple qui réclame le départ du système et de tous ses symboles et qui n’a pas cessé de scander « Makach Intikhabat Yal Eissabates » » (communiqué).
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13h45. Ali Haddad quitte le Tribunal de Bir Mourad Rais.
12h55. Procès Ali Haddad : verdict le 17 juin.
12h50. Avocat de Hassane Boualem : »vous dites que la justice est indépendante, alors ramenez Bedoui, Sellal et Hocine Mazouz »
12h48. Collectif de la défense : « pourquoi c’est Hassane Boualem qui va payer, alors qu’il a juste appliqué les instructions de Bedoui, Sellal et Hocine Mazouz (ex-SG du ministère de l’Intérieur), ce n’est pas raisonnable »
12h34. Le collectif de la défense plaide la relaxe d’Ali Haddad, et la restitution des 4500 euros, qui lui ont été confisqués lors de son arrestation au poste frontalier d’Oum Tboul
12h32. Collectif de la défense : « Haddad est une victime »
12h31. Collectif de la défense : « il n’y a aucune preuve de la falsification du passeport par Haddad »
12h26. Collectif de la défense : « Ali Haddad est une personnalité internationale, qui emploie plus de 10000 travailleurs algériens. Ce n’est pas un délinquant. Il a obtenu son deuxième passeport d’une façon légale ». « Il a demandé un deuxième passeport pour des raisons professionnelles et pour servir l’économie du pays, et non pas pour des intérêts personnels »
12h06. Bouira : Des travailleurs des secteurs de la formation professionnelle et de Sonelgaz manifestent pour le départ du système
12h04. Collectif de la défense : le dossier d’Ali Haddad a été traité d’une façon « inhabituelle »
12H04. M. Boualem est le directeur des titres et des documents sécurisés au ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales. Lors du procès, il a affirmé qu’il n’avait pas rencontré Ali Haddad, et dit que c’est l’ex-SG du ministère Hocine Mazouz qui lui a demandé d’établir un 2e passeport à l’ex-président du FCE
11h58. Le procurer requiert 18 mois à l’encontre d’Ali Haddad et 100000 da d’amende (Lire)
Le procueur a requis la même peine à l’encontre du deuxième accusé dans cette affaire qui est Ahcene Boualem, directeur au ministère de l’Intérieur.
11h52. Ali Haddad parle à petite voix, à peine audible dans la salle d’audience
11h49. Ali Haddad reconnait qu’il était en possession de deux passeports
11h47. Ali Haddad nie avoir tenté de fuir en Tunisie, et dit avoir voulu partir en vacances.
| Lire sur TSA : Échange d’accusations entre Makri et Tabbou
11h24. Procès Ali Haddad : la défense demande la nullité du procès verbal de son audition
11h21. La réunion de l’opposition se déroule à huis clos
11h19. Ali Haddad vient d’entrer dans la salle d’audience du tribunal de Bir Mourad Rais
11h13. La reunion d’aujourdhui à pour ordre du jour les discussions autour des développements de la semaine notamment l’appel au dialogue lancé par le chef d’état-major et le report des élections présidentielles, a indiqué M Bahbouh à TSA
11h11. Réunion des partis de l’opposition au siège du parti de Nourredine Bahbouh en présence de Ali Benflis, Abderrazak Makri, Mohamed Said, Abdallah Djaballah, et Benbaibeche. La réunion vient de commencer.
| Lire sur TSA : Création d’un réseau de « lutte contre la répression et pour la libération des détenus d’opinions »
10h55. Vidéo Arrivée d’Ali Haddad au Tribunal de Bir Mourad Rais
| Lire sur TSA : L’annulation de l’élection du 4 juillet vue par la presse internationale
10h51. Arrivée d’Ali Haddad au Tribunal de Bir Mourad Rais (Alger). Son procès se déroule aujourd’hui.
L’ex-président du FCE est incarcéré à la prison d’El Harrach depuis début avril.
Il a été arrêté le 31 mars au poste frontalier d’Oum Tboul alors qu’il s’apprêtait à se rendre en Tunisie. Il était en possession de deux passeports et d’une somme en devises.
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Sans surprise, le Conseil constitutionnel a annoncé, dimanche 2 juin, l’annulation de l’élection présidentielle du 4 juillet. La décision est liée à l’absence de candidats – seuls deux prétendants ont déposé des dossiers incomplets -, mais pas seulement : dans son communiqué, le Conseil constitutionnel a laissé entendre que les conditions d’une élection transparente n’étaient pas réunies.
« Il y a lieu de réunir les conditions adéquates pour l’organisation de cette élection dans la transparence et la neutralité en vue de préserver les institutions constitutionnelles qui concourent à la réalisation des aspirations du peuple souverain », a affirmé le Conseil dans son communiqué.
Pour les partisans du pouvoir, ces conditions seront réunies grâce à la mise en place d’une commission électorale indépendante.
Hier, le journal El Moudjahid résumait les choses à sa manière en s’attaquant à ceux qui demandent le départ des 2B : « Cette opposition, qui a infiltré le mouvement populaire pour mieux brouiller son message, cible l’institution de l’Armée nationale populaire et son état-major, et véhicule le discours selon lequel l’élection avec les « 2 B » serait une reconduction de l’ancien régime, alors qu’elle sait très bien que ces deux personnalités n’ont aucun rôle dans l’organisation et la supervision de l’élection, tâches confiées à une instance indépendante, responsable de tout le processus électoral ».
Pour le pouvoir, le départ de Bensalah n’est, pour l’instant, pas négociable. Hier, le Conseil constitutionnel a décidé de prolonger de fait le mandat du président par intérim jusqu’à la tenue de la prochaine élection. C’est l’artifice juridique qui a été mis en place pour rester dans le cadre constitutionnel, même si des juristes et des constitutionnalistes émettent des doutes sur la démarche.
En maintenant Bensalah, le pouvoir ferme la porte à l’idée d’une présidence collective pour gérer la transition. Le dialogue avec l’opposition devrait concerner les autres aspects : le remplacement du gouvernement Bedoui et la composition de la commission électorale.
S’il veut que sa démarche soit prise au sérieux, le pouvoir devra donner quelques garanties : libérer le champ politique et médiatique, libérer les détenus d’opinion, cesser les poursuites contre les manifestants…
Hier, les annonces du Conseil constitutionnel ont donné lieu à peu de réactions. Parmi les partis politiques, seul le FFS a réagi. Une partie de l’opposition se réunira aujourd’hui pour faire connaître sa position sur les dernières annonces.