Un projet intitulé Ci-RES (Création de Capacités Institutionnelles d’Intégration des Réfugiés dans l’Enseignement Supérieur) a été lancé le 10 février dernier, et vise à proposer de « réaménager la structure organique et fonctionnelle des universités algériennes pour répondre aux problèmes et défis de l’intégration effective des réfugiés au sein de ces établissements », a annoncé l’université française Panthéon Sorbonne dans un communiqué.
« Retenu dans le cadre de l’appel « Renforcement des capacités dans le domaine de l’enseignement supérieur » (CBHE) de la Commission européenne, le projet Ci-RES (Création de Capacités Institutionnelles d’Intégration des Réfugiés dans l’Enseignement Supérieur) propose de réaménager la structure organique et fonctionnelle des universités algériennes pour répondre aux problèmes et défis de l’intégration effective des réfugiés au sein de ces établissements », indique le communiqué de la même source.
« Le projet Ci-RES sera porté par l’Université Sétif 2 pour une durée de trois ans. Les autres partenaires impliqués dans ce projet sont le MESRS, trois universités algériennes (Université de Béjaïa, Université de Ouargla et Université de Tizi Ouzou), deux universités espagnoles (Universidad da Coruña et Universidad de La Rioja), deux institutions italiennes (Università degli studi di Bergamo et l’UNIMED) et l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne », précise le communiqué de Panthéon Sorbonne.