Karim Benzema exprime de nouveau son attachement au pays de ses origines, l’Algérie. Dans des déclarations à la presse, il a encensé les nouvelles infrastructures sportives dont vient de se doter l’Algérie, notamment les stades de football ultramodernes. Il est aussi revenu sur le bel accueil qui lui a été réservé l’été dernier par ses compatriotes.
La star mondiale a été interrogée en Arabie saoudite, où il joue pour l’équipe d’Al Ittihad, sur son pays d’origine qu’il a visité l’été dernier. La vidéo a été mise en ligne sur X par la page Algérie football média mardi 8 octobre. “Les gens sont bien, un bon accueil, très content d’être là-bas”, a-t-il répondu.
Karim Benzema, 36 ans, s’est rendu en juin dernier en Algérie, où il a visité la région d’origine de son père, Béjaïa, en Kabylie, et celle de sa mère, l’Oranie. Il a été chaleureusement accueilli par le public et les autorités. Il avait aussi partagé de nombreuses images et vidéos montrant la beauté naturelle des lieux où il s’est rendu.
“Magnifique !”, s’enthousiasme Karim Benzema à propos des nouveaux stades algériens
Le ballon d’or 2022 a été aussi frappé par le développement que connaît l’Algérie, notamment en matière d’infrastructures sportives. “La structure, la structure. Magnifique, c’est en bon développement”, a-t-il dit à propos des nouveaux stades algériens.
De nombreuses enceintes ont été inaugurées ces derniers mois, notamment quatre grands stades de football aux standards internationaux, dont justement un à Oran et un autre en Kabylie, à Tizi-Ouzou.
Interrogé si l’Algérie peut organiser la Coupe d’Afrique des nations (CAN), Benzema a répondu : “Inchallah, pourquoi pas”.
Le joueur franco-algérien ne manque pas une occasion pour faire un clin d’œil à l’Algérie. Le 12 septembre dernier, il a rendu un hommage à son père et à l’Algérie en écrivant dans sa story sur Instagram le mot “daddy”, suivi du drapeau vert-blanc-rouge algérien.
Lorsqu’il était banni de l’équipe de France pour des raisons extra-sportives, entre 2015 et 2021, Karim Benzema avait publiquement demandé en 2016 au président de la Fédération française de l’époque, Noël Le Graët, de le laisser jouer pour l’équipe d’Algérie.