La présidence palestinienne a déclaré mercredi à l’AFP que Jérusalem n’était “pas à vendre”, en réaction à la menace de Donald Trump de supprimer l’aide financière américaine de 300 millions de dollars si les Palestiniens refusent de négocier avec Israël.
“Jérusalem est la capitale éternelle de l’Etat de Palestine et n’est pas à vendre pour de l’or ou des milliards”, a affirmé à l’AFP Nabil Abou Roudeina, porte-parole de la présidence, en référence au refus palestinien de reprendre des négociations après la reconnaissance par Washington de la Ville sainte comme capitale d’Israël.