Après quelques rencontres informelles dans les salons de l’hôtel Aurassi, le diplomate Lakhdar Brahimi, un des deux jokers sortis par le président Bouteflika pour vendre son projet de conférence nationale, a quitté Alger.
De ses rencontres, il est sorti avec le sentiment que le projet du président sortant ne suscite aucune adhésion.
Pour autant, ce n’est pas cet échec qui a motivé son retour à Paris où il réside. Membre d’un cercle de réflexion, il est tenu par un rendez-vous en Chine prévu de longue. C’est du moins ce qu’il a confié autour de lui.