Le FFS a accusé, ce vendredi 31 mars, des « oligarchies » d’œuvrer pour « coloniser et miner » la scène politique afin d’élire un Parlement au service de la prédation.
« Ce sont ces oligarchies qui travaillent, jour et nuit, pour éloigner les jeunes de la politique et pour coloniser et miner l’espace politique à coup de milliards de dinars de l’argent sale en vue de placer des candidats au service de législations qui sauvegardent le statu quo, légalisent la prédation des ressources, monopolisent le capital et détruisent le secteur public et les valeurs de l’intérêt général (…) », a accusé le premier secrétaire du FFS, Abdelmalek Bouchafa devant les jeunes du parti réunis à Alger.
Considérant que la situation actuelle n’est pas une « fatalité » et que le « changement est inéluctable », Bouchafa invite les jeunes à s’investir en politique et à occuper toutes les positions politiques.
« Nous encourageons les jeunes à s’investir en politique car c’est la seule voie pour un changement. La violence, allié naturel de la dictature, de l’autoritarisme et l’énergie des barons de l’argent sale, à l’intérieur et à l’extérieur, a échoué », estime-t-il.