Le Parti de la liberté et de la justice (PLJ) appelle à la poursuite de la lutte contre la corruption et les corrompus, à « tous les niveaux, jusqu’à ce que le citoyen ressente ses résultats et retrouve sa confiance dans l’État et la justice ».
Dans un communiqué publié ce dimanche à l’issue de la réunion ordinaire de son bureau national, le PLJ qui se considère comme « partie prenante du hirak béni », dit « apprécier les résultats obtenus jusque-là dans la lutte contre la corruption ».
Le PLJ félicite d’ailleurs les Algériens « qui sont sortis, et dans toutes les régions du pays, dans un sursaut historique sans pareil dans le monde en termes d’intensité et de continuité, et qui continue à ébahir le monde pour son pacifisme et son civisme ».
Le parti, que dirigeait Mohamed Saïd (devenu ministre conseiller à la présidence) souligne « la nécessité et l’importance d’ouvrir le champ médiatique aux avis différents, sans offenser ni préjuger les autres, quelles qu’en soient les raisons »
Enfin, le PLJ réitère son appel à la construction du « plus grand consensus national », qu’il considère comme « le seul moyen de former un front intérieur uni » pour bâtir « un État fort et cohérent avec ses institutions », avec la participation de tout le monde, « sans exclusion ».