Après une première édition en 2016, « Les nuits du cinéma » reviennent à l’occasion de ce mois du Ramadhan. Le coup d’envoi sera donné ce jeudi 1er juin à 22h au Théâtre de verdure Laâdi Flici, à Alger. L’événement est organisé par la société de distribution MD Ciné et l’Établissement Arts et culture d’Alger.
« Comme pour l’année passée, les projections se feront en plein air avec deux séances. La première à 22h destinée au jeune public avec notamment des films d’animation. Et la deuxième, à minuit, pour le grand public avec la programmation de longs métrages récents ». Nous commençons ce jeudi soir avec « Le pirate des Caraïbes 5, la vengeance de Salazar, qui sort en même temps en Europe », explique Ryad Ayadi, gérant de la société MD Ciné.
Le même soir, le jeune public découvrira le dernier produit des studios américains Dreamworks, « Baby boss » de Tom McGrath. « Nous avons prévu aussi des films tels que « Alien » et « La momie » avec Sofia Boutella (fille du compositeur algérien Safy Boutella) qui sortiront en Europe à la même période », a précisé Ryad Ayadi.
Le film fantastique « Le Roi Arthur » de Guy Ritchie est également au programme. Cette grosse production américano-australo-britannique est sur les écrans mondiaux depuis le début du mois de mai 2017. C’est une histoire de super pouvoirs, de vengeance et de tyrannie.
Le public découvrira lors de la deuxième moitié du Ramadhan « Wonder woman » de Patty Jenkins. Le film consacre le passage au grand écran de la super héroïne de bande dessinée puis de séries télévisées. Diana ou Wonder woman va essayer cette fois ci « de sauver le monde des guerres » en traversant la géographie. La sortie mondiale du long métrage d’action se fera en même temps que sa projection à Alger.
« Le prix du billet est fixé à 600 dinars pour deux séances. C’est abordable », explique Ryad Ayadi. Les projections se dérouleront jusqu’au 24 juin 2017, à la veille de l’Aïd El Fitr. « Après le Ramadhan, nous reprendrons les projections en juillet avec notamment le dernier « Spider man » et d’autres films nouveaux », conclut Ryad Ayadi.
