TRIBUNE. Ils n’ont jamais renoncé à leur vieux projet de déstabilisation du pays. À chaque étape de la grande marche de l’Algérie, ils réchauffent la recette du scénario d’un invraisemblable chaos en Algérie.
Depuis, l’ère du défunt président Boumediene, à l’ère du président Tebboune, les prêcheurs du chaos, en véritables messagers de la haine et de la violence, ont toujours usé des procédés les plus vils qu’ils soient pour pousser à l’anarchie.
Manipulés, par des officines étrangères, ces prêcheurs du chaos, sans aucun ancrage populaire, sont capables de toutes les vilenies pour parvenir à leurs fins.
De telles méthodes qui prônent une descente dans le déni, le mensonge et le chaos ne sont hélas pas nouvelles en Algérie.
Depuis, l’avènement d’un Hirak beni, qui a conduit à l’élection du président Abdelmadjid Tebboune à la magistrature suprême, ces messagers du mal ont franchi le Rubicon, en usant et en abusant de toutes sortes de fake News et d’invectives.
Les messagers du chaos
Avec leurs lives quotidiens et un partage des rôles parfaitement synchronisé par une main invisible, digne du théâtre d’ombres, ils visent à créer un climat de psychose dans l’espoir d’atteindre l’État et ses fondements.
Leurs plans qui ont toujours échoué vont encore échouer dans cette Algérie nouvelle, qui est en train d’émerger. Ils ne peuvent impunément continuer à ternir l’image de l’Algérie.
Ils ont tout essayé depuis l’indépendance, les marionnettistes qui actionnent aujourd’hui ces prêcheurs du chaos et qui sévissent sur la Toile sont les descendants de ceux qui ont toujours véhiculé l’idée que « rien ne va plus depuis 1962 », alimentant ainsi les arguments des nostalgiques de l’Algérie française.
Ces messagers du chaos, qui redoublent de férocité à chaque période estivale, qui n’ont jamais eu de crédibilité hormis chez leurs maîtres, ont tout perdu devant les grandes avancées de l’Algérie nouvelle.
Le peuple algérien qui a décidé de changer d’époque se démarque de ces prêcheurs du chaos, qui ne peuvent prétendre à un strapontin sur l’échiquier politique. Avec une radicalité aux nombreuses ramifications, ils font office de porte-parole des « éternels » ennemis de l’Algérie.