Parmi les suspects, figurent d’anciens détenus dans des affaires de terrorisme et d’extrémisme et d’autres ayant des antécédents judiciaires pour des crimes de droit commun, ont indiqué la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) et la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST) dans un communiqué relayé par l’agence de presse officielle MAP.
L’un des hommes arrêtés a des liens de parenté avec un combattant du groupe terroriste Etat islamique dans la zone irako-syrienne, a-t-on ajouté de même source. Le réseau est soupçonné de trafic de drogue, mais aussi d’enlèvement, séquestration et demande de rançon. Les perquisitions ont permis de saisir des machettes, des cagoules et des plaques d’immatriculation.
Les autorités marocaines affirment déployer d’importants moyens pour la lutte antiterroriste. En 2017, neuf “structures terroristes” ont été démantelées et 186 terroristes présumés “neutralisés”, selon un bilan officiel.