Dans son édition du 26 février 2020, TSA commentant la démission des élus APW du RCD écrit : « on ignore les raisons de ce retrait, mais il semble s’inscrire dans le prolongement de la guerre en sourdine que se livrent les fidèles à l’ancien président du parti à l’actuelle équipe dirigeante…». Au lieu de s’adresser aux parties concernées par cette décision pour en connaître les tenants et aboutissants, votre correspondant m’implique dans une crise que j’ai veillé à ignorer malgré les attaques et les allusions dont j’ai été la cible depuis plusieurs mois.
J’ai quitté la présidence du RCD en mars 2012 devant un congrès et j’ai annoncé mon retrait en tant que militant de ce parti en février 2018 devant la même instance. Depuis, j’ai fait savoir, que je renonçais à toute forme d’activité partisane.
Relayer la rumeur et s’enferrer dans les thèses complotistes, est, pour le coup, une autre manière de prendre partie dans une « guerre en sourdine ». L’auteur de cette désinformation aurait pu éviter à TSA ces manipulations et les laisser à des organes plus performants dans la pollution médiatique.
Mes productions et activités ont toujours été du domaine public. Aujourd’hui, ces dernières sont consacrées à la réflexion et à la proposition alternatives dans un moment où l’insurrection citoyenne subit les assauts les plus mortifères depuis son avènement le 22 février 2109.
Si TSA veut connaître le combat que je mène, il lui suffit de faire ce que font les citoyens algériens : consulter ma page facebook. Je ne veux pas croire que cette sortie de route participe de la volonté, exprimée par d’autres factions, de faire diversion sur ce travail.