Reporté à plusieurs reprises, le procès de Karim Tabbou a eu lieu ce lundi 30 novembre devant le tribunal de Koléa (Tipaza). Il s’agit du procès de la première affaire pour laquelle il avait été arrêté le 11 septembre 2019, avant d’être remis en liberté. Dans son réquisitoire, le procureur de la République a requis 3 ans de prison ferme et 100 000 DA.
Le coordinateur de l’Union démocratique et sociale (UDS – non agréé) avait été arrêté une première fois le 11 septembre et placé en détention par un juge d’instruction du tribunal de Koléa.
Le 25 septembre, il a été remis en liberté provisoire puis arrêté de nouveau le lendemain dans une autre affaire. Présenté devant le tribunal de Sidi M’hamed, il a été écroué. Condamné en première instance à 6 mois de prison ferme, il écopera en appel d’une année ferme à quelques jours de la date prévue pour sa libération. Il a été remis en liberté le 2 juillet.