Au moins 14 combattants, dont des Iraniens, ont été tués dans la frappe qui a visé tôt lundi une base militaire du régime dans le centre de la Syrie, a rapporté l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH). Mais l’origine du raid reste inconnu.
Les Etats-Unis ont affirmé ne pas mener des frappes aériennes en Syrie. “En ce moment, le département de la Défense ne mène pas des frappes aériennes en Syrie”, a déclaré un porte-parole du Pentagone.
Pour sa part, l’armée française affirme qu’elle n’a pas bombardé la base du régime syrien. “Ce n’est pas nous”, a dit le porte-parole de l’état-major des armées françaises, le colonel Patrik Steiger, à l’AFP.
Le président français Emmanuel Macron a annoncé dimanche “se coordonner” avec son homologue américain Donald Trump sur les suites à donner à une attaque chimique probable le 7 avril dans la zone rebelle de la Ghouta orientale, alors qu’il a répété à plusieurs reprises que l’usage avéré d’armes chimiques entraînerait une frappe française.