Abdelaziz Rahabi a réagi à la libération du moudjahid Lakhdar Bouregâa, ce jeudi 2 janvier.
« La libération du Moudjahid Lakhdar Bouregâa constitue le début d’une réparation d’une injustice qui doit être suivie de celle de tous les détenus d’opinion encore incarcérés », affirme l’ancien ministre de la Communication dans une déclaration publiée ce jeudi.
Pour lui, « cette mesure constitue un signe positif qui pourrait participer à la mise en place des mesures de confiance et d’apaisement sans lesquelles aucune sortie de crise ne peut être valablement envisagée ».
M. Rahabi ajoute que « la stabilisation de la situation en Algérie, aussi urgente que nécessaire, appelle le président de la République à prendre des mesures certes courageuses mais qui relèvent de ses prérogatives constitutionnelle de chef d’État, garant de l’unité de la Nation et de la stabilité du pays ».
Il appelle de « tous (ses) vœux à la satisfaction des revendications légitimes du peuple algérien tout comme j’apporte mon soutien aux actions de dialogue et de concertation pour prémunir l’Algérie des risques multiformes de l’impasse politique actuelle ».