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Salaires, Tindouf : les décisions de Tebboune en Conseil des ministres

Salaires, Tindouf : les décisions de Tebboune en Conseil des ministres

Le président Abdelmadjid Tebboune a réuni ce dimanche 24 décembre le Conseil des ministres durant lequel il a annoncé des décisions concernant un plan de développement pour Tindouf et la revalorisation des salaires pour les enseignants, les imams, les soignants, etc.

Un programme complémentaire pour Tindouf

Le Conseil des ministres a approuvé le programme complémentaire de développement de 29,5 milliards de dinars au profit de la wilaya de Tindouf. Ce plan comprend 18 opérations dans sept secteurs : irrigation, santé, urbanisme, environnement, logement et jeunesse, selon le communiqué publié par la présidence de la République à l’issue de la réunion.

Le président Tebboune a ordonné le « lancement immédiat d’une étude approfondie, en vue de la création d’une zone de libre-échange, qui contribuera à diversifier les activités économiques dans la région, notamment à la frontière entre l’Algérie et la Mauritanie ».

Statuts particuliers des enseignants, soignants, imams

Concernant les statuts particuliers et les régimes indemnitaires des personnels de l’Éducation nationale, des chercheurs hospitalo-universitaires, des enseignants-chercheurs, des chercheurs permanents, des soignants et des imams.

Le président Tebboune a ordonné la révision, l’enrichissement et la clarification du contenu de ces statuts au plus tard début février prochain, en tenant compte de « l’effet rétroactif des salaires et primes à partir de janvier 2024 ».

Abdelmadjid Tebboune a renouvelé son engagement envers ces catégories professionnelles et sa « gratitude » pour tous les « efforts qu’ils ont déployés pendant les moments difficiles qu’a traversés notre pays, et ils restent fidèles à leur détermination, c’est pourquoi leurs situations doivent être améliorées à travers des statuts spéciaux ».

Le président de la République a souligné que l’enseignement, la médecine, l’enseignement supérieur et l’imamat « encadrent la société » et « ne sont pas de simples emplois ». Ces statuts doivent « inclure une réelle valeur ajoutée à ces professions notamment d’un point de vue social », a soutenu le chef de l’État.

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