Interrogé sur le plateau de Dzair News sur sa déclaration pour TSA Arabi concernant la possibilité qu’a Bouteflika, au cas où il est réélu le 18 avril prochain, de ne pas prononcer l’intégralité du texte de la prestation de serment, Farouk Ksentini a trouvé « bizarre » la réaction des juristes.
« Ala klima, betna fi dhlima » (pour avoir dit un mot nous avons passé la nuit dans le noir), a commenté l’ancien Président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’Homme, les réactions des pécialistes en droit à sa déclaration.