Le président soudanais déchu Omar el-Bachir est apparu samedi pour la deuxième audience de son procès pour corruption devant un tribunal de Khartoum. Il fait face à des accusations de « possession de devises étrangères, de corruption » et de trafic d’influence.
Le 19 août, un enquêteur avait affirmé que M. Bachir avait avoué avoir reçu d’importantes sommes d’argent saoudien en espèces – à hauteur de 90 millions de dollars (80 millions d’euros).