En visite à Pékin, Vladimir Poutin s’est installé au piano alors qu’il attendait son homologue chinois pour un entretien.
« Il a enchaîné au clavier deux partitions de l’époque soviétique, l’une consacrée à sa ville natale de Saint-Pétersbourg, et l’autre célébrant les fenêtres illuminées du Moscou nocturne », relate l’AFP. Le piano était mal accordé, a expliqué le président russe, toujours selon le récit de l’AFP.