Said Amamra s’est présenté ce jeudi au ministère de l’Intérieur pour retirer les formulaires de candidature à la présidentielle du 18 avril prochain.
Devant les caméras de télévision, il affirme être le « chef de la sûreté mondiale ». Un poste qui n’existe pas bien sûr.
Cet étrange individu ne compte mener aucune campagne électorale, si son dossier est retenu. « C’est au peuple de mener la campagne électorale », a-t-il tranché.